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Pour référencer une page, rien de mieux que du contenu. Accompagné d’une bonne optimisation et de mots clés analysés. Cependant comment être sûr d’avoir mis tous les ingrédients dans le bon plat ? Vous avez pourtant renseigné votre balise Titre et Description, ajouté des balises H1, H2 et H3, créé des liens internes, mais vous n’arrivez pas à vous positionner sur Google. Voici une méthode complémentaire pour vous aider à référencer vos mots clés : le contexte, marqueur de l’évolution de la pensée en référencement.

Du référencement du mot clé à son contexte

Il est toujours plus facile de contrôler une tache lorsqu’on lui impose des contraintes. Comme celle de répéter un nombre de fois bien précis un mot clé, puis de mesurer sa densité. Or la répétition des mots clés, le calcul systématique de la densité, et du nombre de mots ont appauvris notre discipline.

Au prémisse du SEO, il était courant de voir des paragraphes avec des répétitions excessives des mêmes expressions. Aujourd’hui encore, alors que les SEO se concentrent sur le contenu, je vois beaucoup trop de texte sur-optimisé.

Cependant le meilleur moyen de référencer une page est, selon moi, d’inclure les mots clés ainsi que leurs synonymes et équivalents. En d’autre terme, de contextualiser les mots clés. Avec une optimisation on-page efficace.

Google est aujourd’hui en mesure de « comprendre » le sens des mots. Il calcul la sur-optimisation et est capable de distinguer les contenus (Google Panda). De cette façon il fait passer la pensée « répétition – densité » obsolète.

Rédiger sans s’arrêter

Google complique les tâches mécaniques et rend compliqué l’industrialisation du SEO. Pour un objectif bien identifié, « rendre le web meilleur », et faire de la navigation une expérience de découverte unique. J’y vois aussi une opportunité grandiose, celle de pouvoir faire preuve de créativité.

Vous connaissez mon goût pour la créativité en SEO. Il ne s’agit pas d’être désorganisé ou farfelu. Au contraire, c’est exprimer son idée, informer, donner des conseils, argumenter ou convaincre. Voici des qualités qui sont à l’origine des pages de contenus les plus courantes.

En suivant mon idée vous comprenez que je m’écarte des écoles qui comptent le nombre de mots et calcule la densité. Je préfère utiliser d’autres indicateurs chiffrés comme le taux de rebond ou le temps passé. Loin des règles de rédaction les plus strictes.

Je ne refuse pas pour autant les contraintes. Au contraire, je pense qu’en rédaction « la contrainte libère ». Choisissez vos contraintes en fonction d’un critère de qualité que vous pourrez mesurer. La taille du contenu compte moins que sa qualité. Ainsi comment allez-vous mesurer sa qualité ?